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Windows 11 KB5030310 : une curieuse mise à jour en attendant la version 23H2 - par _Felix le 30/09/2023 @ 16:55

Windows 11 KB5030310 : une curieuse mise à jour en attendant la version 23H2

 Félix  27/09/23

Contrairement à ce qui était attendu, Microsoft n'a pas sorti la version 23H2 de Windows 11 ce 26 septembre, mais une étrange mise à jour intermédiaire, avec quelques nouveautés… et sans Copilot, le fameux assistant dopé à l'IA.

Nous le répétons depuis des mois : Microsoft fait n'importe quoi avec Windows 11. Et ce n'est visiblement pas près de s'arrêter. Ainsi, lors d'une présentation de rentrée en grandes pompes il y a seulement quelques jours, l'éditeur avait promis l'arrivée d'une version majeure, la fameuse 23H2 – 23 pour 2023 et H2 pour second semestre –, comportant un lot important de nouveautés et d'améliorations. Sur son site officiel, la firme de Redmond avait même publié le menu, promettant près de 150 nouvelles fonctions, en particulier l'introduction de Copilot, son nouvel assistant dopé à l'IA. La date était même indiquée en clair : le 26 septembre.  Par un curieux hasard de calendrier, c'était aussi le jour choisi par Apple pour publier macOS 14 Sonoma, la nouvelle version de son système d'exploitation pour Mac – la simple rencontre des grands esprits ?




Windows 11 KB5030310 : une simple mise à jour intermédiaire

Seulement voilà, si le nouvel OS d'Apple est bien arrivé mardi 26 septembre à l'heure dite, aucune trace de la nouvelle grande mouture de Windows 11 dans Windows Udpate – ni ailleurs. Contrairement à ce que certains de nos confrères avaient annoncé prématurément ces dernières semaines, point de version 23H2 à l'horizon. À la place, une mise à jour en mode "aperçu" : une Build 22621.2361 simplement estampillée KB5030310 dans la terminologie Microsoft – poésie, quand tu nous tiens…




Inutile de dire que la nouvelle a plutôt déçu les spécialistes. D'autant que cette Build ne brille pas vraiment par ses merveilles. La principale amélioration mise en avant par Microsoft consiste en l'arrivée de sites Web personnalisés dans la section Recommandé du menu Démarrer. "Cette mise à jour introduit les sites web dans la section Recommandé du menu Démarrer. Ces sites web seront personnalisés pour vous et proviennent de votre historique de navigation. Cela vous permet d'accéder rapidement aux sites web qui sont importants pour vous. Vous pouvez supprimer n'importe quelle URL de site web de la section Recommandé à l'aide du menu contextuel. Pour désactiver la fonctionnalité, accédez à Paramètres > Personnalisation > Démarrer", explique l'éditeur dans ses notes de version. Autrement dit, une fonction qui fait la même chose que les favoris ou la page d'accueil d'un navigateur ? Waouh !


Et le reste des "nouveautés" présentées est du même acabit, avec surtout de nombreuses corrections de problèmes concernant, pêle-mêle, le bouton de recherche, le mode veille, un bug d'Excel lors du partage de PDF dans Outlook (sic !) ou encore le calendrier et les contacts iCloud. La liste des améliorations mentionnées est aussi courte qu'édifiante : signalons simplement la prise en charge les changements d'heure d'été au Groenland, le changement d'orthographe de la capitale de l'Ukraine de Kiev à Kiev – tout  est vrai. Pas de doute, Microsoft vend du rêve !
Mais la meilleure blague reste l'absence de Copilot, dont l'intégration avait été pourtant officiellement promise quelques jours plus tôt. Inutile de le charger après l'installation de la mise à jour : il n'est pas là ! "Copilot dans Windows sera lancé en avant-première sur certains marchés mondiaux dans le cadre de la dernière mise à jour de Windows 11. Les marchés initiaux pour l'aperçu de Copilot dans Windows comprennent l'Amérique du Nord et certaines parties de l'Asie et de l'Amérique du Sud. Nous avons l'intention d'ajouter d'autres marchés au fil du temps", peut-on lire en guise d'explication dans une discrète note de Microsoft. Autrement : attendez votre tour !

Windows 11 : y a-t-il un Copilot dans la version ?

Vous l'aurez compris, cette mise à jour n'est pas à la hauteur de ce que l'on attendait de Microsoft. Pas question de la bouder pour autant, même s'il n'y a pas d'urgence à l'installer – c'est d'ailleurs souvent plus prudent, pour éviter d'essuyer quelques plâtres bien salissants… D'autant que, très curieusement, elle intègre certaines des nouveautés prévues pour 23H2, comme l'écran des accueil des paramètres – qui présente des infos et des réglage dans des sections dites interactives – ou la nouvelle version de Paint – qui permet de supprimer automatiquement l'arrière-plan d'une image, comme certains logiciels pros. Mais Microsoft n'en dit absolument rien dans sa note officielle : c'est à ne plus rie y comprendre !



Ce nouvel épisode illustre bien l'absence de rigueur de Microsoft dans le développement de Windows 11, surtout quand on le compare à la stratégie d'Apple avec macOS, bien plus lisible. Dès le départ, l'éditeur s'est pris les pieds dans la tapis qu'il avait lui-même tissé en présentant son système comme révolutionnaire alors qu'il s'agit simplement d'une version évoluée de Windows 10 – ce qu'il était d'ailleurs à l'origine. Plus grave, Microsoft s'est coupé immédiatement d'une bonne partie de ses utilisateurs potentiels en imposant des exigences matérielles incompréhensibles – tant pour les processeurs compatibles que pour la présence d'une puce puce spécialisée, la fameuse TPM 2.0 –, interdisant de fait l'installation de ce nouveau Windows sur des PC anciens. Et, depuis, l'éditeur brouille constamment les pistes en multipliant les mises à jour et en éparpillant les nouveautés de son système phare au point de perdre les fidèles comme les experts. Il serait grand temps de remettre de l'ordre, de la simplicité et de la lisibilité dans l'évolution de Windows.

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Ventoy : créer facilement une clé USB bootable - par _Fabrice le 06/09/2023 @ 16:14

Ventoy : créer facilement une clé USB bootable

 Fabrice 06-09-2023
 
Gratuit et très simple d'emploi, Ventoy permet de copier un ou plusieurs systèmes d'exploitation sur une clé USB, puis de démarrer un PC en choisissant l'OS à lancer. Un utilitaire complet et pratique, à garder toujours sous la main !
Lorsque l'on souhaite réinstaller Windows proprement, le plus simple consiste à créer une clé USB de démarrage. Celle-ci comporte tous les attributs pour pouvoir démarrer le système qu'elle embarque et permet ensuite de l'installer. Pour y parvenir, il existe plusieurs solutions. S'il s'agit d'installer Windows par exemple, on peut s'appuyer sur l'outil Media Creation Tool proposé par Microsoft ou encore Rufus, un logiciel gratuit et très complet. Mais que diriez-vous de disposer d'une clé de démarrage multiboot, c'est à dire embarquant plusieurs systèmes d'exploitation ?
C'est ce que propose l'outil gratuit Ventoy. Grâce à lui, et pour peu que votre clé dispose de suffisamment de place, vous pourrez réunir sur une même clé le disque d'installation de Windows 10, de Windows 11, d'une distribution Linux – comme Ubuntu ou Mint – ou encore des utilitaires de secours comme en propose Avast ou Medicat. Pour y parvenir, vous n'aurez qu'à récupérer les images disques, les fameux fichiers ISO – ou même d'autres formats comme WIM,  IMG /VHD ou encore EFI –  de ces systèmes et les copier sur la clé USB préparée avec Ventoy. Contrairement à ce que propose Rufus par exemple, Ventoy se charge simplement de répertorier les ISO présentes sur la clé. Il n'en extrait pas les contenus, si bien que lorsque l'on démarre le PC depuis la clé USB Ventoy, les systèmes choisis sont prêts à être lancés. Aussi, comprenez qu'à l'exception de certains disques appelés Live CD comme pour Ubuntu par exemple, vous ne profiterez pas d'un système d'exploitation utilisable directement depuis la clé USB. Ventoy s'acclimate de plus de 1000 images disques dont Windows (11, 10, 8, 7, etc.), une quantité impressionnante de distributions Linux, et même des versions de ChromeOS comme l'excellent ChromeOS Flex qui peut fonctionner sur des PC peu puissants et même sur des Mac. Surtout, il ne requiert aucune connaissance technique pour fonctionner. Magique !

Comment créer une clé USB multiboot avec Ventoy ?

L'utilisation de Ventoy se révèle vraiment simple. L'outil se contente de préparer la clé USB à accueillir le ou les fichiers ISO et dépose les fichiers nécessaires au démarrage du PC depuis celle-ci. Si l'opération ne dure que quelques secondes, le plus long reste d'y copier les fichiers ISO souhaités.

► Téléchargez Ventoy puis décompressez l'archive Zip récupérée. Connectez la clé USB sur laquelle vous souhaitez installer vos différents systèmes sur votre PC et lancez ensuite l'application Ventoy2Disk.

► L'interface de Ventoy se résume à une petite fenêtre. Le logiciel a normalement détecté automatiquement votre clé USB. Vérifiez dans le champ Device qu'il s'agit bien de la bonne clé (pour le cas où plusieurs clés USB seraient branchées à votre ordinateur en même temps).



► Cliquez à présent sur le bouton Install. Ventoy vous avertit que les données contenues sur la clé seront supprimées (et pour cause, il va la formater). Vérifiez qu'aucune donnée importante ne s'y trouve et cliquez sur Oui.




 
► Au bout de quelques secondes, votre clé USB est prête. Récupérez à présent le ou les fichiers ISO correspondants aux divers systèmes que vous souhaitez voir figurer sur votre clé. Libre à vous n'en retenir qu'un seul si vous le souhaitez. Copiez ensuite ces fichiers ISO sur la clé comme vous le feriez avec n'importe quel autre type de fichiers. L'opération peut prendre plusieurs minutes selon la vitesse d'écriture de la clé, le type de connexion USB et la quantité de données à copier.




► Une fois les données copiées, il ne reste plus qu'à brancher la clé USB sur le PC sur lequel vous souhaitez utiliser les nouveaux systèmes et démarrer depuis celle-ci en modifiant l'ordre de priorité du démarrage depuis le Bios ou l'UEFI de l'ordinateur afin de désigner la clé en première position.




 ► L'interface de Ventoy s'affiche à l'écran et propose les différents systèmes que vous avez copié sur la clé.



► Il ne reste plus ensuite qu'à cliquer sur le système de votre choix ou à le sélectionner avec la touche flèche vers le bas puis Entrée du clavier pour lancer son installation, un outil de réparation ou encore un Live CD directement depuis la clé USB.

Ventoy > Télécharger - Systèmes d'exploitation



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Mise à jour Chrome 116 : une nouvelle faille critique à corriger d'urgent - par Felix le 02/09/2023 @ 16:00

Mise à jour Chrome 116 : une nouvelle faille critique à corriger d'urgent

Félix 30/08/23


Encore une fois, Google publie en urgence une nouvelle version de son navigateur Web Chrome afin de combler une faille de sécurité jugée critique. Une mise à jour à installer sans attendre pour éviter tout risque sur Internet !

Même s'il fait l'objet d'évolutions et d'améliorations constantes, Chrome, le navigateur Web de Google, n'échappe pas aux problèmes de tous les logiciels, et notamment aux fameuses failles de sécurité, ces "petits défauts" qui échappent à la vigilance des développeurs, et qui sont découverts après coup, par des experts plus attentifs. Et certaines de ces failles sont plus graves que d'autres, exigeant une réaction rapide au regard des dangers qu'elles font peser sur les utilisateurs. Après plusieurs alertes de sécurité cette année, c'est encore le cas en cette fin août 2023 où Google vient de publier une mise à jour afin de combler en urgence une nouvelle brèche de sécurité qualifiée de critique découverte dans version 116, aussi bien pour ordinateur que pour Android.

Chrome 116 : une faille dans le module de streaming audio et vidéo

Comme Google l'explique dans son billet de blog publié le 29 août, cette vulnérabilité référencée sous la douce appellation CVE-2023-4572 –et découverte le 12 août dernier par un certain wnfwn (@_fwnfwn) – présente des risques importants dans la mesure où elle concerne MediaStream, une API liée à WebRTC qui prend en charge la diffusion en continu de données audio et vidéo. Dit plus clairement, elle peut être exploitée lors de la consultation de flux en streaming, une activité désormais fréquente pour beaucoup d'utilisateurs. Et si Google n'explique pas comment elle peut être détournée pour des attaques ou des piratages, l'éditeur conseille d'installer dès à présent le correctif qui sera de toute façon déployé automatiquement dans les jours et semaines à venir. Un conseil qu'il vaut mieux suivre sans attendre, comme toujours ! Et bien que le téléchargement et l'installation des mises à jour dans Chrome s'effectuent automatiquement, il est recommandé de les forcer immédiatement (voir ci-dessous) pour éviter tout risque.

Comment mettre Google Chrome à jour ?

La mise à jour de Chrome est très simple, sur ordinateur comme sur mobile.

► Si vous utilisez la version mobile de Chrome, connectez-vous à Internet (en 4G/5G ou en Wi-Fi), ouvrez le Play Store (sur Android) ou l'App Store (sur iOS), cherchez Chrome dans le moteur de recherche ou parmi les applications déjà installées sur votre appareil, puis appuyez sur le bouton Mettre à jour.

► Si vous utilisez la version pour ordinateur, ouvrez Chrome, cliquez sur les trois petits points verticaux, dans le bandeau en haut à droite. Dans le menu qui s'affiche, passez la souris sur Aide, en bas, afin de déployer un sous-menu, puis cliquez sur À propos de Chrome.






► Un nouvel onglet s'ouvre dans la fenêtre active. Chrome cherche alors automatiquement une mise à jour. S'il trouve une nouvelle version, il l'indique clairement dans un message et la télécharge aussitôt. Cliquez sur le bouton Relancer pour fermer le navigateur, appliquer la mise à jour et relancer Chrome.

► À l'issue de la mise à jour, vous devriez avoir les numéros de version suivants selon votre système d'exploitation, en regardant dans À propos de Chrome :

    Chrome pour Windows : 116.0.5845.140 ou 116.0.5845.141
    Chrome pour Mac et Linux : 116.0.5845.140
    Chrome pour Android : 116.0.5845.163




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Meta utilise vos données Facebook pour entraîner son IA. Voici comment s'y opposer - par louis le 31/08/2023 @ 15:53

Meta utilise vos données Facebook pour entraîner son IA. Voici comment s'y opposer (enfin presque)

Technologie : Meta utilisera vos données personnelles dans son grand modèle linguistique Llama 2. Mais vous pouvez affiner les données auxquelles il a accès.

 Jeudi 31 Août 2023
 
 
 Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, a gagné des milliards de dollars en collectant, partageant et utilisant vos données personnelles. Et cela continue. Meta utilise vos données pour créer son grand modèle de langage (LLM), Llama 2.

Oui, vos données sont le minerai à partir duquel sera forgé le métal du prochain chatbot IA de Facebook. Cela ne vous enchante pas ? Vous pouvez faire en sorte qu'au moins une partie de vos données n'alimente pas le moteur d'IA de Facebook.

Tout d'abord, comprenez que Meta n'utilisera que des informations accessibles au public "ainsi que des informations provenant de ses produits et services" -- Facebook, Threads et Instagram -- pour entraîner ses services d'IA générative. Le seul moyen d'éviter complètement cela est de supprimer vos comptes Facebook et associés. Et 90 jours après, c'est la durée pendant laquelle Meta conserve vos données, vos données ne seront plus accessibles.


Pour modifier la façon dont Meta utilise vos données, deux options sont désormais possible

Notez toutefois que même si vous n'avez jamais utilisé Facebook, Meta sait presque certainement des choses sur vous. En effet, de nombreux autres sites web utilisent les données de Meta, les plugins de réseaux sociaux ou d'autres logiciels publicitaires Meta. Ces sources suffisent à elles seules à collecter des informations sur vous.

Pour modifier la façon dont Meta utilise vos données, deux options sont désormais possibles.

Tout d'abord, depuis quelque temps, vous pouvez utiliser les outils OFA (Off-Facebook Activity) pour voir une grande partie, mais pas la totalité, de ce que Facebook et vos amis savent sur vous.


 Même lorsque vous n'êtes pas sur Facebook, Meta vous suit à la trace. Capture d'écran par Steven Vaughan-Nichols/ZDNET

En plus de votre nom et du fait que vous avez aimé la photo du chat de votre oncle, vous découvrirez que Facebook sait quand vous avez...

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Les outils de l'OOF vous permettent toutefois de gérer votre activité hors Facebook.

Tout d'abord, rendez-vous sur la page Activité hors Facebook. Pour accéder à cette page, vous devrez peut-être saisir votre mot de passe Facebook. C'est normal. Vous y trouverez tous les sites et services avec lesquels Facebook partage des données et vice-versa.

Pour savoir exactement ce que fait chacun d'entre eux de manière générale, cliquez sur ceux qui vous intéressent. Comme vous en avez probablement des centaines, je doute que vous ayez envie de les passer tous en revue.
Désactiver les activités futures

Dans les pages Gérer vos activités hors Facebook, vers le bas de l'écran, vous pouvez "Désactiver les activités futures". Cela n'empêche pas Facebook ou l'entreprise d'obtenir vos données ; cela rompt simplement, en théorie, le lien entre votre identité Facebook et vos données.
Effacer l'historique
Vous pouvez aussi simplement "Effacer l'historique". Vous trouverez cette option sur la page Gérer votre activité hors Facebook. Elle déconnectera votre compte de tous les sites et services qui vous suivent actuellement. Encore une fois, cela n'efface rien. Elle rompt simplement le lien entre votre compte et les partenaires de Facebook. Dans ce cas, il se peut que vous soyez également déconnecté de tous les sites auxquels vous vous connectez à l'aide d'un identifiant Facebook. Toutefois, Facebook et ses partenaires continueront à recevoir vos activités lorsque vous visiterez leurs sites et services.
Rompre le cordon des données d'IA

Cela permettra également d'éliminer certaines des données utilisées par Meta dans le cadre de ses programmes d'IA. Pour en savoir plus sur l'amélioration de la protection de votre vie privée en matière d'IA, vous devez vous rendre sur la nouvelle page Generative AI Data Subject Rights.


Meta ne promet pas de faire quoi que ce soit , mais vous pouvez toujours demander Vous pouvez y "soumettre des demandes relatives à l'utilisation de vos informations pour l'entraînement de modèles d'IA générative". Meta ne promet pas de faire quoi que ce soit, mais vous pouvez demander ce qui suit :

Je souhaite accéder, télécharger ou corriger toute information personnelle provenant de tiers et utilisée pour l'IA générative.

Cette demande générera un courriel au service clientèle de Meta. En temps voulu, Meta vous répondra. La réponse que vous obtiendrez dépendra de votre lieu de résidence. Aujourd'hui, les citoyens de l'UE ont beaucoup plus de chances de pouvoir obtenir leurs informations et de les modifier que, par exemple, un citoyen du Canada, des États-Unis ou du Mexique. Cela s'explique par le fait que l'UE dispose de lois sur la protection de la vie privée beaucoup plus strictes que n'importe où ailleurs dans le monde.

L'autre demande est beaucoup plus simple :

Je souhaite supprimer toutes les informations personnelles de tiers utilisées pour l'IA générative.

Avec cette option, toutes vos données de l'OFA devraient être supprimées.

Même après tout cela, Meta aura toujours accès à toutes les données que vous avez saisies dans Facebook, Instagram et Threads. Mais au moins, vous aurez préservé certaines de vos données personnelles de l'IA de Meta. C'est mieux que rien.

Source : "ZDNet.com"


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Patch Tuesday juillet 2023 : 132 correctifs et des nouvelles fonctions - par Felix le 15/07/2023 @ 16:21

Patch Tuesday juillet 2023 : 132 correctifs et des nouvelles fonctions

Félix :3/07/23

Microsoft commence à déployer son Patch Tuesday de juillet 2023 pour ses logiciels. Au programme, 132 correctifs dont 9 critiques, mais aussi quelques nouveautés pour Windows 11 via la mise à jour intégrée vers Moment 3.
Sans surprise, Microsoft a publié le mardi 11 juillet son traditionnel Patch Tuesday, ce fameux ensemble de correctifs que l'éditeur diffuse le deuxième mardi de chaque mois, pour réparer des bugs, mais aussi, et surtout, combler des failles de sécurité récemment identifiées et parfois déjà exploitées par des pirates. L'édition de juillet 2023 de déroge pas à la règle, en regroupant quelque 130 "pansements" pour Windows 10 et Windows 11, dont 9 concernant des vulnérabilités qualifiées de critiques et même 6 dites zero-day, c'est-à-dire activement mises à profit par des hackers. Inutile de dire qu'il vaut mieux ne pas tarder à télécharger et à installer ces patchs pour éviter tout risque. Même si rien ne garantit à l'heure actuelle que ce Patch Tuesday ne posera pas de problèmes ultérieurs par lui-même, certaines mises à jour récentes de MIcrosoft ayant fait plus de mal que de bien chez quelques utilisateurs.

Même s'il ne concerne pas uniquement Windows, mais tous les logiciels Microsoft en général, le Patch Tuesday se traduit surtout par l'installation d'une "mise à jour cumulative" matérialisée par une nouvelle version du système associée à un "code" KBxxxxx qui varie selon la déclinaison de Windows utilisée sur un PC.L'édition de juillet 2023 propose ainsi la KB5028166 pour Windows 10 21H2 et 22H2, la KB5028182 pour Windows 11 première édition, dite aussi 21H2, et la KB5028185 pour Windows 11 22H2. Et, comme toujours, ces mises à jour s'effectuent à travers Windows Update, qui les propose soit automatiquement, soit après une recherche manuelle avec le bouton idoine.

Patch Tuesday juillet 2023 : la mise à jour Moment 3 incluse en standard

Cette fois, Microsoft a clairement mis l'accent sur la sécurité en comblant un nombre impressionnant de failles en tout genre. Dans son guide de sécurité, constamment mis à jour, l'éditeur liste les vulnérabilités identifiées et corrigées, que l'on retrouve sous leurs références toujours aussi claires et poétiques . Une liste aussi longue que cryptique et indigeste, qui n'intéressera que les experts. Il faut juste savoir qu'elle concerne divers problèmes techniques (exécution de code à distance, élévation de privilèges, contournement de la protection SmartScreen de Windows, etc.) et qu'elle touche de nomùbreux produits Microsoft en plus de Windows (Office, notamment Access, Excel et Outlook, Paint 3D, Azure Active Directory, Microsoft Dynamics, Power Apps, pilotes d'impression PostScript et PCL6, mais aussi le serveur DNS, Windows Installer, ou encore le noyau Windows). Du classique donc !

Ce qui change toutefois avec la livraison de juillet – et c'est une petite surprise –, c'est que la mise à jour cumulative pour Windows 11 installe d'emblée une nouvelle version fonctionnelle du système : à savoir la mise à jour dite Moment 3, qui introduit plusieurs nouvelles fonctions . Rien de majeur, mais des petits plus qui améliore le système dans son utilisation quotidienne. Cette version était déjà disponible de façon autonome depuis la fin mai, mais Microsoft a visiblement eu envie de l'imposer à tous en la combinant avec le Patch Tuesday, ce qui est assez inhabituel. Après tout, pourquoi pas ? Rien à signaler en revanche du côté de Windows 10, qui ne devrait en théorie plus recevoir de nouveautés fonctionnelle avant son abandon, même si Microsoft a fait le contraire il y a quelques semaines (voir notre article). On l'a dit et redit, la stratégie de l'éditeur est assez difficile à suivre depuis quelque remps…


Comme d'habitude, la marche à suivre pour installer le Patch Tuesday est très simple. Il suffit de se rendre dans Windows Update, via les Paramètres de Windows, de chercher la disponibilité de moises à jour si elle ne sont pas proposées d'emblée, puis de cliquer sur le bouton Installer. Un réflexe à adopter le deuxième mercredi de chaque mois, même en été !









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Windows 365 : bientôt un PC Windows dans le cloud sur abonnement - par Félix le 12/07/2023 @ 16:26

Windows 365 : bientôt un PC Windows dans le cloud sur abonnement

Félix 10/07/23


Microsoft prépare une version grand public de Windows 365, son service de PC virtuel dans le cloud avec Windows 11, accessible depuis n'importe quel appareil connecté à Internet, grâce à un abonnement. Bonne ou mauvaise idée ?

Et si Windows était désormais proposé en abonnement ? Aussi curieuse que la question puisse sembler de prime abord, elle n'a rien d'une hypothèse d'école. Non seulement l'idée fait son chemin chez Microsoft, mais surtout, l'éditeur l'a déjà concrétisée avec son offre Windows 365, une formule destinée pour le moment aux entreprises et qui pourrait être déclinée en version grand public  dès l'automne 2023, si l'on en croit les prédictions de Windows Latest, un site spécialisé toujours bien informé. Une perspective qui suscite de nombreuses interrogations sur sa mise en œuvre comme sur son intérêt, en induisant un changement complet de paradigme. Car qui dit abonnement, dit paiement perpétuel, ce qui n'est pas le cas du modèle économique adopté par Microsoft depuis les début de Windows…


Windows 365 : le Cloud Computing pour tous

Pour bien comprendre ce qui se trame, il convient de revenir sur le principe de Windows 365. Ce service n'est pas nouveau : il existe depuis 2020. Mais il est depuis réservé aux entreprises à travers deux formules baptisées Windows 365 Business et Windows 365 Entreprise, facturées de 31 à 67 euros par mois selon la configuration choisie. De fait, et c'est essentiel, Windows 365 n'est pas une version de Windows sur abonnement, comme on pourrait le penser le craindre, même, mais un service complet de Cloud Computing, à l'image de ce que propose le Français Shadow. En clair, il donne accès, à travers un abonnement, à un PC virtuel s'utilisant via Internet. Et ce, depuis n'importe quel appareil connecté ou presque.




En pratique, il suffit de se connecter au service à l'aide d'un compte – Microsoft évidemment…–, de choisir une formule d'abonnement, puis de sélectionner une configuration de selon ses besoins pour utiliser un ordinateur distant sous Windows 11, en le contrôlant avec un clavier, une souris et un écran. L'idée, c'est que tout se fait à distance, en mode cloud, sur le PC virtuel hébergé par les serveurs de Microsoft : les seules informations qui transitent sont les commandes (texte saisi, actions sur la souris…) et l'affichage, qui diffusé en streaming, un peu come une vidéo Netflix. L'appareil utilisé n'a ainsi pas besoin d'être puissant puisque tout est déporté : les applications s'exécutent sur le PC virtuel, qui effectue tous les calculs et tous les traitements, et qui stocke touts les fichiers sur les serveurs. Voilà pourquoi on peut, en théorie, le piloter avec une tablette ou un smartphone, même si un ordinateur semble plus indiqué dans le cas de Windows. 


Windows 365 : des configurations à la demande

Les avantages mis en avant par Microsoft sont nombreux. Outre le fait qu'il n'est pas nécessaire d'avoir une machine puissante pour utiliser un  PC virtuel, les applis et les fichiers qu'il stocke restent accessibles de n'importe où via une connexion Internet, exactement comme les données stockées dans OneDrive. Pas besoin non plus de s'embêter avec des mises à jour et d'autres procédures de sécurité, puisqu'elles sont gérées automatiquement par Microsoft sur le PC virtuel. Enfin, il est très facile de faire évoluer l'ordinateur distant selon ses besoins en choisissant une nouvelle configuration : de quoi, en principe, profiter de l'équivalent d'un PC gamer depuis une machine d'entrée de gamme, sans avoir à invertir dans des composants coûteux.
Pour l'heure, Microsoft propose trois configurations dans ses formules professionnelles, avec 2 ou 4 processeurs virtuels, 4, 8 ou 16 Go de mémoire vive et 128 Go de stockage. On ignore les plans de l'éditeur pour sa future déclinaison grand public, mais on peut imaginer des configurations plus musclées avec davantage de stockage ou un véritable GPU pour faire tourner des jeux. De même, on ne sait rien non plus des tarifs envisagés. Mais Windows Latest table sur un prix de base équivalent à une dizaine d'euros par mois. Bien entendu, on imagine aisément que la firme de Redmond proposera une offre couplée à Microsoft 365, sa suite bureautique en mode cloud, pour une utilisation familiale complète clés en main.





Windows 365 : location vs achat

Difficile pour autant de savoir si ce concept novateur, qui préfigure sans doute un certain avenir de l'informatique, saura réellemement convaincre des particuliers. D'une part, se pose le problème de la localisation des données, que tout le monde n'a pas envie de laisser sur les serveurs d'une entreprise commerciale, par essence privée. De l'autre, se pose la question du coût. Même à 10 euros par mois, soit 120 euros par an, est-il plus rentable de loueur un ordinateur virtuel que d'en acheter un, même très modeste. D'autant qu'une fois l'abonnement résilié, on ne peut évidemment plus utiliser le PC virtuel. Et qu'il faut de toute façon un appareil pour utiliser le service. Bref, comme pour un logement,, c'est l'éternel débat entre la location et l'achat. Pas sûr que les mentalités des utilisateurs de PC actuels soient prêts à adopter ce nouveau modèle… Une chose semble toutefois certaine : l'arrivée de Windows 365 dans la sphère grand public ne signera pas l'arrêt du Windows local et définitif tel que nous le connaissons. Chacun devrait pouvoir continuer à utiliser un PC classique pendant de longues années.


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